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HOMMAGE A Mohammed OULD KABLIA  

Le jeudi 29 aout 2013 nous quittait Mohammed OULD KABLIA, Moudjahed, grand serviteur de l’état et ancien élève de notre lycée. Pour honorer sa mémoire, nous vous présentons sa biographie

Biographie de Mohamed OULD KABLIA

Mohamed Ould Kablia est né le 6 mai 1932 à Tanger où son père exerçait depuis deux années, la fonction d’officier de la garde du sultan Mohamed V. Il fait avec son frère Dahou et sa sœur Zoubida des études primaires dans cette ville avant le retour à Mascara de toute la famille en 1940 au lendemain de la déclaration de guerre entre l’Allemagne et la France.

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BIOGRAPHIE DE Mohammed OULD KABLIA

Le jeudi 29 aout 2013 nous quittait Mohammed OULD KABLIA , Moudjahed et grand serviteur de l’état. Pour honorer sa mémoire, nous vous présentons sa biographie

Biographie de Mohamed OULD KABLIA

Mohamed Ould Kablia est né le 6 mai 1932 à Tanger où son père exerçait depuis deux années, la fonction d’officier de la garde du sultan Mohamed V. Il fait avec son frère Dahou et sa sœur Zoubida des études primaires dans cette ville avant le retour à Mascara de toute la famille en 1940 au lendemain de la déclaration de guerre entre l’Allemagne et la France.

Mohamed reprend ses études à l’école Alexandre III sanctionnées par le certificat d’études en juin 1944. Il entre au collège de Mascara l’année suivante pour les cycles moyen et secondaire jusqu’en 1952 où il décroche la première partie du baccalauréat.

Le cycle de terminale n’existant pas à mascara, il s’inscrit pour la saison scolaire 1952-1953 au lycée Pasteur à Oran en série sciences expérimentales. Il est reçu à la deuxième partie du baccalauréat dans cette filière et rejoint l’année suivante en 1954 l’université d’Alger où il s’inscrit à la faculté de médecine dans la filière du tronc commun à l’époque physique, chimie, biologie (P.C.B.) passage obligé pour les études de médecine.

L’année suivante 1955, il est en 1ère année de médecine puis la 2ème année en 1956.

Il arrête définitivement ses études en mai 1956 suite à la grève générale décrétée par l’UGEMA dont il faisait partie.

Il rejoint Mascara et il est désigné pour la saison scolaire 1956-1957 en qualité de professeur de sciences naturelles au collège de garçons de Mascara. Il est menacé de radiation suite à la grève décrétée par le FLN en Janvier 1957 puis rappelé à son poste par manque de remplaçant. Il milite au FLN sous la responsabilité de Mekkioui Mamoun et de Allab Daho.

Début 1958, à l’appel du chef de zone Mustapha Stambouli il rejoint avec un grand nombre d’ex-étudiants et d’instituteurs les maquis de la zone 6. Au printemps de cette même année, Stambouli convoqué à l’extérieur en prévision de la constitution du gouvernement provisoire de la république algérienne et répondant à une directive du colonel Abdelhafidh Boussouf demandant l’envoi en base arrière à Oujda de l’ensemble des moudjahidines de niveau supérieur pour une prise en charge de formation dans les écoles spécialisées crées au lendemain de la grève de mai 1956 (Transmission, renseignement, chiffre) en plus d’une formation de base dans le domaine militaire et politique.

Le contingent de Mascara fort d’une quinzaine de jeunes arrivés après de dures épreuves fin juin 1958 à Oujda, il est transféré à l’école des cadres de l’ALN pour suivre le stage de la 2ème promotion encadré par Laroussi Khalifa, Nourredine Delleci, Abdelaziz Maoui, Mohamed Moughlam pour le côté politico-économique et Abdallah Arbaoui (capitaine Nehru) pour l’aspect militaire.

A l’issue de ce stage qui fait suite à la constitution du premier gouvernement du FLN, tous les stagiaires de la 1ère et 2ème promotion, une centaine sont versés aux structures du ministère des liaisons générales et communication relevant de l’autorité du colonel Boussouf.

Ould Kablia Mohamed dit « Rafik » est rapidement désigné, compte tenu de ses aptitudes, responsable du service de recherches de la DDR pour le territoire du Maroc. Trois années après, il est désigné à la même responsabilité à la tête du service recherches pour le territoire tunisien, tout en collaborant avec le Ministre Boussouf au sein de son cabinet jusqu’à l’indépendance le 5 juillet 1962.

En octobre 1962, après la formation du premier gouvernement de l’Algérie indépendante, il est appelé par Hocine Medeghi le nouveau ministre de l’Intérieur en qualité de chargé de mission puis chef de son cabinet poste qu’il quittera à l’été 1964 après la démission de Hocine Medeghi en conflit avec le Président Benbella.

Il rejoint le ministère des affaires étrangères en qualité de directeur d’administration centrale durant de longues années avant d’être désigné par Abdelaziz Bouteflika en qualité de consul à Bordeaux en 1976 et Nantes en 1983.

Il prend sa retraite en 1988 après 26 années de services au profit de la nation avec son engagement, sa compétence et sa loyauté continue.

   

PUBLICATION DU Pr KHELIL .2

Curieux endroit qu'a choisi le Pr KHELIL pour situer le déroulement de son histoire. Ce choix en réalité n'est pas fortuit: ce phénomène de la file d'attente révèle l'un des malaises chroniques que ressent le citoyen algérien. Pour les deux acteurs de ce roman ce lieu constitue l'observatoire idéal pour scruter, observer et sentir physiquement le resenti de ce malaise social. Le dialogue des deux amis, l'un agronome l'autre journaliste, passe en revue tous les problèmes qui empoisonnent la vie quotidienne de l'algérien. Dans l'épilogue l'auteur propose des solutions basées sur des études scientifiques qui doivent accompagner une réforme en profondeur de notre système socioéconomique et donc politique. Comme d'habitude chaque publication du Pr KHELIL constitue une nouvelle contribution positive  au débat national.A.B

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POINT DE VUE

Abdelkader KHELIL

L’écrivain Boualem Sansal, l’homme aux cheveux longs et aux idées courtes, n’a pu construire que très péniblement son petit « nid douillet » dans le monde littéraire français du « politiquement correct ». Il ne doit cette place, qu’à la faveur de sa soumission et son allégeance à la sphère du monde de l’édition pourtant très hermétique et, régie selon le mode : « démonstration : patte blanche ». C’est là, la principale clé d’accès aux différents plateaux « télés », sous contrôle strict du lobby sioniste. C’est ce dernier qui régente en véritable maître de céans et en modérateur attitré, par la voix des journaleux aux ordres, le droit à la parole des médias mensonges, qui lui sont inféodés majoritairement. Il semble se contenter de la périphérie de la « z’riba », pour se donner l’illusion d’exister et de briller. Cela semble lui plaire ! Mais lui seul, le sait ! N’est-ce pas son affaire, après tout ?

   C’est pourquoi, en intrus très frileux et pas du tout à l’aise dans sa « carapace », il s’est empressé de sortir « illico presto », un nouvel essai : « Le français, parlons-en », par loyauté à ses protecteurs. J’avoue que j’étais presque tenté de lui dire : « Mais qui vous a sonné, vous, l’indigène de service qui peine à se défaire du complexe de colonisé » ! Si je me suis rétracté, c’est que j’ai appris, qu’il vient d’obtenir la nationalité française depuis peu et dans ce cas, il est donc français, en principe à part entière, comme l’a été bien avant lui, le Colonel Bendaoud, au 19ème siècle. Ce grand soldat français, bien que portant avec fierté la Légion d’honneur bien visible sur son torse bombé et adoubé par la presse française de cette époque, a tout de même fini par se rendre à l’évidence que dans l’entendement français de toujours et, à jamais : « un Arabe reste un Arabe », même s’il a été colonel français. Je ferme cette parenthèse pour dire, que Sansal l’écrivain « indigène », vient rejoindre la « cohorte de Français de papiers », comme aiment à les appeler les ténors de « souche » ou d’origine étrangère des droites françaises réunies.

  Sans cela, je l’aurais félicité en lui disant en langage algérien : « Bsahtek, Ya Boualem », toi le futé « Wald bladi, El harag » de la ville de Boumerdès, si ce n’était-là pour lui, qu’un stratagème. En quelque sorte, juste une ruse ou un moyen, une « 3afsa » comme disent nos jeunes, pour gagner sa croûte un tant soit peu. Mais aussi, pour se prémunir des moments difficiles, lui, l’infortuné exilé, le « juif errant » qu’il a toujours voulu être avec son look de « métèque », en fuyant la barbarie de la décennie noire. Il en a fait, un registre de commerce tout trouvé et une source d’inspiration pour son travail d’écriture, flattant surtout, l’égo Gaulois de l’extrême droite. C’est sur ce terreau fertile qu’il a nourri et fait croître sa haine de l’Islam, tout comme son ami de circonstance, Eric Zemmour avec lequel il partage les mêmes idées, à quelques petits détails près.

   Parions que maintenant qu’il est lui aussi, un français par défaut, il ira le rejoindre dans son parti « Reconquête » pour constituer ensemble, une paire tonitruante, prête à en découdre avec toutes et tous les Arabes et musulmans indésirables des banlieues des grandes villes de France, pour faire concurrence à Marine le Pen et à sa nièce et non moins traitresse, Marion Maréchal, en puisant dans sa réserve de « fachos » et de détraqués . Ne sait-on jamais ce que nous réserve le monde très instable d’aujourd’hui et beaucoup plus de demain, devait-il se dire, ce pseudo intellectuel des plateaux, dont l’esprit fonctionne à la manière d’une peau de caméléon changeant sa pigmentation, selon les situations vécues et surtout, les dividendes qu’il peut en tirer !

              Mais avant qu’il ne devienne totalement, un « néo Gaulois » de plein exercice et un servile citoyen français à plein temps, nous sommes tout de même, en droit de lui reprocher comme pour solder nos comptes avant de lui tourner définitivement le dos, son rôle de simple supplétif de la plume. Oui ! Ce harki des temps modernes, très assidu, lui, qui passe son temps à « casser du sucre sur le dos » de l’Algérie, que le révisionnisme de son Histoire affirme sans honte bue, que ce pays est « indépendant mais n’a jamais existé avant », malgré son million et demi de Martyrs ! Quelle ineptie !

  Et dire qu’il y a encore des imbéciles peu respectueux des valeurs de leur lignée de la « rjoulia » algérienne, cette marque inoxydable de l’Algérie de la Numidie à ce jour qui trouvent le temps de s’approcher de cet individu aux idées répulsives et nauséabondes. Certains pour un selfie, d’autres pour un autographe, ou tout simplement pour échanger un bonjour, sans craindre la contagion, pouvant venir de la traîtrise de ce « néo-gaulois ». Oui, de cette maladie chronique dont les médicaments ne sont pas couverts par la carte « chifa » de la CNAS, cette caisse si populaire d’une Algérie conviviale et généreuse. Celle qui a choisi pour son peuple souverain, la voie du presque tout social, pour venir en aide à ses très nombreux « swawla » du « One, Two, Three, Viva l’Algérie », ce cri de ralliement autour de nos valeurs traditionnelles ancestrales !

   Ce vil personnage de la félonie, se garde pourtant de reconnaître et d’apprécier tout ce qu’il doit à son pays d’origine. Il évite soigneusement de dire à ses lectrices et lecteurs, que c’est entre le début des années 1980 et jusqu’à 2003, c’est-à-dire, durant plusieurs mandats présidentiels, ceux de Chadli Bendjedid puis de Abdelaziz Bouteflika, soit pendant plus de vingt ans, il a été un « cadre de la Nation » en tant que haut fonctionnaire de l’État algérien. Il exerçait en sa qualité de directeur central au ministère de l’industrie lourde ou légère, ou plutôt, de « soussa madsoussa » (taupe infiltrée dans l’administration algérienne), comme confirmé par la suite. Il est bien dommage, que les services de sécurité ne se soient pas aperçus à temps ! Cette vermine à l’époque si muette et tellement effacée, n’aurait pas eu aujourd’hui, une langue bien pendue !

   Et dire, qu’il ne manquait rien à cet énergumène, qui de surcroît, disposait d’une pension de retraite confortable qui lui aurait permis de se la couler douce et dans la dignité, comme tous les retraités patriotes (Hommes et Femmes) cadres supérieurs qui se plaisent chez-eux en Algérie, sans tomber dans le piège de la trahison, comme ce vendu qui crache dans la soupe. Quel déshonneur pour lui que de retourner sa veste et aller troquer son âme chez « fafa », que pour une simple « gamelle insipide » et une « gloire » éphémère et aléatoire.

   Il continuera à chercher inlassablement, à gagner les bonnes grâces de cette France officielle qui l’a accueilli, pour en faire de lui, un simple suppôt comme tant d’autres, très utile pour sa stratégie de nuisance dirigée contre l’Algérie et son armée. N’avons-nous pas, le cas d’exemple concret de son autre « ami », Xavier Driencourt, l’ex ambassadeur de France qui a exercé en Algérie ? Ce dernier qui savait naviguer dans les milieux de la traîtrise et du copinage, a eu de la peine à quitter notre si beau pays et ses « khbardjia », tout en regrettant, le temps de la « Isaaba que le vaste Mouvement populaire des jeunes et de femmes d’Algérie de février 2019 a entamé le processus de son élimination progressive !

   Que n’a-t-il pas fait ce traître de Sansal, pour mériter ce sésame de la charité en vogue, du : « donnant-donnant ». Cette admission et sa cooptation dans le cercle des représentants de l’élite assimilable le fait jubiler et lui permet d’entonner cette fois-ci, plus librement au su et vu de tout le monde et non en catimini, dans les toilettes publiques, la « Marseillaise » à la place de nos hymnes émouvants « Kassaman » et « Min Djibalina » qui donnent la chair de poule. Il est si heureux, qu’il faut croire que le prix littéraire de « l’indigène soumis » lui a été décerné, à défaut du Goncourt, derrière lequel ils sont nombreux ces « écrivains basanés » à vouloir l’obtenir en employant tous, le même procédé protocolaire de l’alignement tête baissée, faut-il le déplorer ! Quelle honte, pour ces « tamaïne » toujours prêts pour l’exécution de la sale besogne, contre promesse d’un hypothétique prix, quel que puisse être sa vraie valeur littéraire !

   Par probité intellectuelle, s’il en avait, l’on aurait aimé qu’il soit plus clair et sincère sur ses engagements politiques, inséparables de la conduite de sa carrière d’écrivain de service. Il a tellement galéré pour obtenir ses papiers de la honte pour lesquels les autorités françaises exercent leur chantage pour le maintenir en laisse, qu’il a fini par comprendre que pour plaire à ceux qui détiennent le pouvoir en France, il n’y a pas que l’allégeance, la soumission et « l’aplaventrisme » qui comptent, à leurs yeux, car eux-mêmes, sont vassalisées à l’extrême et alignées sur les thèses très toxiques, de l’empire du mal.

   Dans cette logique du sérail français de l’intrigue « hitchcockienne », il fallait qu’il fasse profil bas, tout en dénigrant ses valeurs identitaires, pour se faire accepter d’abord par le CRIF. Il a donc commencé par se mettre à genoux devant l’entité israélienne et son parrain, le sionisme international. Après quoi, et comme par enchantement, la machine bureaucratique s’est emballée en libérant le soldat Boualem des terribles pesanteurs de la bureaucratie française. C’est qu’il a gagné la confiance de ses maîtres et obtenu leur quitus, après qu’ils aient mesuré son degré de loyauté envers eux. Mais aussi, sa hargne à défendre leurs propres intérêts.

  Pas besoin donc, de dire au Français Boualem (sans qu’il ne soit, l’autre Bachagha de triste souvenir), qu’il y a bien évidemment, une ligne rouge à ne jamais franchir ! Celle de ne pas s’aventurer à critiquer les pratiques inhumaines de l’empire qui menace durablement, la paix dans le monde, en accomplissant sa sale besogne génocidaire, en Palestine occupée et au Liban. Pas besoin de le lui rappeler, puisque dès son premier roman « Le Serment des barbares », en 1999, il avait fait le choix résolu d’une carrière française dans l’écurie Gallimard. Bien évidemment, libre à lui, d’être dans une perspective d’écrivain français, pur produit, pour autant qu’il soit un homme, un vrai « dergez » sans ambigüité dans ses rapports avec son pays et sa littérature.

  Quant à nous, ne soyons plus ces gens crédules, pour croire que Sansal ou autres énergumènes à la solde d’officines sionistes, ont le droit de se faire passer tout à la fois, pour écrivains français et algériens. Et puis, pourquoi ne leur sont pas retirés leurs passeports algériens ? Il y a là, me semble-t-il, quelque chose qui ne tourne pas rond et il faut bien, qu’on s’en inquiète vraiment et sérieusement, nous le peuple algérien visé dans son unité et menacé dans sa cohésion et son intégrité territoriale ! Le moment et arrivé pour faire fonctionner, le tamis de de Khalti Oum el kheir ! C’est qu’il y a là, urgence dans le fait de séparer le bon grain de l’ivraie !

   Non ! Il faut savoir que la littérature, la vraie, comme celle pratiquée par des Hommes et des Femmes d’honneur, tels : Kateb Yacine, Mohamed Dib, Mouloud Feraoun, Moufdi Zakaria, Mouloud Mammeri, Assia Djebbar, Rachid Boudjedra, Rachid Mimouni, Taher Djaout, Taher Ouettar, Maïssa Bey, Ahlam Mosteghanemi, Amin Zaoui, Waciny Laredj, Abdelhamid Benhadougha, Youcef Sebti, Jean Sénac … et bien d’autres, morts ou vivants, qui font honneur à l’Algérie, ne s’accommode pas de l’hypocrisie ambiante de la sphère littéraire de l’alignement.

   Cette littérature vraie n’admet qu’une seule appartenance nationale et il est bien heureux que Boualem, l’écrivain « zigoto » de l’industrie lourde ou légère du temps passé, a fini par faire son choix ! Disons à ce personnage perfide et détestable, bon débarras et de mon point de vue, il n’a plus à mettre les pieds en Algérie sans passer par le dépôt de demande de visa, au même titre que ses compatriotes français ! Et, qu’à cela ne tienne ! Il n’a qu’à mener sa barque ailleurs, lui qui a procédé au divorce avec son pays d’origine !

   Cet imposteur qui a construit sa célébrité toute relative par le « buzz » dont les français crédules de droite, sont si friands parce qu’ils n’arrivent pas à admettre que l’Algérie indépendante est un État souverain et ne saurait être Ad vitam aeternam leur pré carré, ne nous couvrira plus de honte ! Comme durant son périple israélien, ou pour se faire admettre comme citoyen d’honneur de l’entité sioniste raciste et génocidaire d’Israël, il n’arrêtait pas de répéter toute honte bue, son affirmation gratuite : « Il n’y a pas eu et il n’y a pas d’entreprise coloniale en Palestine ! ». N’est-ce pas là, un gage donné au lobby sioniste du champ littéraire ? N’est-ce pas là aussi, une profession de foi en faveur d’Israël et du sionisme ? C’est en cela et non, dans le fait qu’il ait choisi une nouvelle nationalité, que Sansal le larbin est détestable à plus d’un titre et « persona non grata » dans notre pays !

   Que le déni d’une histoire immémoriale de la terre de Palestine lui vaille les foudres de la colère de ses compatriotes, il s’en moque ! Seuls importe pour lui, les félicitations et l’appui du gouvernement raciste et génocidaire de Netanyahu, le criminel et bourreau des Gazaouis et des Libanais. À Jérusalem, en ce mois de juin 2012, Boualem « l’intrépide », apparaît coiffé de la kippa sur l’esplanade des Mosquées, en Juif asserté, pour tenir les pires propos sur les Palestiniens, qu’il considère comme un peuple fictif inventé par des pays arabes haineux, pour envenimer la paisible existence d’Israël, son autre point de chute et de villégiature. Quelle honte, que cette scandaleuse visite de ce sioniste supposé « algérien », qui fut une aubaine savamment exploitée, par l’entité sioniste au profit de son projet de normalisation !

   Et ce n’est pas tout ! Au Mur des Lamentations, au Mémorial de Yad Vashem, il a eu le culot de contester à nos frères Palestiniens grands et petits, le droit à la vie. Quel monstre ! Et dire, que ce traître et potentiel agent du Mossad, continue de venir à Boumerdès ! Est-ce normal ? L’Algérie n’est pas une poubelle pour accueillir ce détritus franco-sioniste de l’imposture maléfique ! Il a fait définitivement son choix et dois être soumis à l’obtention du visa, comme tout autre Français. Et puis ! Il faut dire que le fait d’apposer un visa d’entrée à côté de celui délivré par l’entité sioniste, est très dur à admettre, pour tout patriote Algérien ! Il est à se demander, s’il ne dispose pas déjà, d’un passeport israélien ?

   Bien avant l’acquisition de la nationalité française, il réagissait dans ses écrits et dans ses sévères interpellations des autorités françaises, à propos de l’Islam et des migrants musulmans, en Français de souche. L’essai qu’il vient de sortir est pour lui, une façon de dire par retour d’ascenseur, merci à cette France, devenue désormais sa mère patrie qui l’a réintégré dans son giron bien « douillet ». L’essentiel de l’entretien que lui ont accordé les médias briffés, porte sur la lecture qu’il se fait de la politique française, de l’Islam et de l’islamisme. Sansal a éprouvé le besoin de changer de trajectoire. Pour continuer à faire le « buzz », il a déclaré à la France entière, sur CNEWS, son athéisme avec un sourire narquois de provocateur, comme pour dire : « je ne suis pas comme ces autres basanés, qui font passer des nuits blanches aux autorités françaises » !

    À bien l’entendre parler dans sa nouvelle situation, il semble dire : « Je suis-là devant vous, pour vous faire la démonstration que j’étais, je suis et je reste, un bon Français ! Importe peu, si ma peau basanée n’est pas à votre goût ! Mais faites-moi confiance ! Je ne vous décevrez pas ! Parole d’écrivain harki, qui a encore de très nombreuses pages à écrire, pour vanter la gloire de la France ». Oui, bien sûr ! Pour commencer par l’occupation française de l’Algérie, il faudra peut-être, que Sansal le Français, nous vante les faits d’armes de cette soldatesque barbare et génocidaire qui a agi sous les ordres du Maréchal Bugeaud, l’inventeur de la chambre à gaz, bien avant Hitler !

   Pour s’occuper de cette sale et harassante tâche, il doit se faire aider par d’autres basanés de son entourage ! Ce n’est pas difficile pour lui, d’en trouver ! Mais il ne doit pas compter sur Eric Zemmour et sa tribu pour accomplir cette tâche qui le mettra certainement à dure épreuve, lui la petite nature si frêle et fatiguée par le poids de l’âge ! Oui, par les volumineux dossiers poussiéreux qu’il a eu à traiter autrefois, au ministère de l’Industrie. Je suis sûr que cela a laissé chez-lui quelques séquelles ! Je lui souhaite quand même, bien du plaisir, parce que je sais pertinemment, qu’il va patauger dans la mare aux canards, même s’il fait appel à ses amis historiens, experts de l’occupation française, qui ne sont-là que pour gagner du temps et nous faire oublier, la question primordiale des archives ! C’est que 120 années de barbarie et sauvagerie fait sans aucun doute, de la France coloniale dont Sansal est si fier, un État passible de poursuite de crimes contre l’humanité, si l’État algérien venait à ouvrir la boite de pandore, sur plusieurs dossiers, mais pas que ceux des enfumades et de la « Gerboise » !

   Et comme pour montrer toute sa bonne volonté pour prouver aux Français de souche, à supposer qu’il en existe réellement et qu’ils peuvent lui faire confiance, il écrit tout un essai pour leur dire que leur France et la sienne aussi, va droit au mur ! En s’érigeant comme expert prospectiviste, cette fois-ci, il leur dit comme pour réveiller les consciences françaises endormies, qu’elle vit sur ses gloires passées et qu’elle est selon lui : « à la ramasse ! » C’est-là pour lui, un cri d’amour à sa nouvelle patrie de cœur ! La concurrence avec Eric Zemmour et tout l’aéropage de « fachos », est désormais ouverte ! Ils l’attendent pour voir ! Cherche-t-il à devenir un jour, ministre « indigène » des harkis et de la domestication des sans-papiers, ou un autre Bachaga Boualem, cet autre personnage de triste souvenir ? L’avenir nous le dira ! Attendons, pour voir !

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