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HOMMAGE A Mohammed OULD KABLIA  

Le jeudi 29 aout 2013 nous quittait Mohammed OULD KABLIA, Moudjahed, grand serviteur de l’état et ancien élève de notre lycée. Pour honorer sa mémoire, nous vous présentons sa biographie

Biographie de Mohamed OULD KABLIA

Mohamed Ould Kablia est né le 6 mai 1932 à Tanger où son père exerçait depuis deux années, la fonction d’officier de la garde du sultan Mohamed V. Il fait avec son frère Dahou et sa sœur Zoubida des études primaires dans cette ville avant le retour à Mascara de toute la famille en 1940 au lendemain de la déclaration de guerre entre l’Allemagne et la France.

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Mémoire et devenir-Brahim Senouci

 


Les images se télescopent parfois. La tragédie convoque parfois son contraire, la farce. Relève de cette catégorie l’épisode du tweet commis par un premier ministre français particulièrement indélicat et qui, à l’évidence, n’a guère de considération pour l’Algérie.

De fait, cette initiative qui consiste à montrer au monde l’image d’un vieil homme terriblement diminué ne le grandit pas. Peut-être exulte-t-il du bon tour qu’il a joué à l’Algérie mais cela n’a pas vraiment d’importance. L’essentiel est ailleurs : dans cette incarnation forcée de l’Etat dans un vieillard aphasique, dont tout nous dit qu’il n’est plus aux affaires et que la fiction dont il est le « héros » a fait long feu.

L’essentiel est aussi dans la découverte de la désinvolture avec laquelle les plus hauts personnages de la République française traitent leurs homologues algériens sans encourir une réelle admonestation. Souvenons-nous de ces ministres de la République fouillés au corps dans les aéroports parisiens, au mépris des usages diplomatiques, sans réaction notable de l’Etat Algérien.

En fait, On ne sait si le grotesque l’emporte sur le scandaleux. Ces deux registres ressortent avec une évidence aveuglante quand ces « menus » incidents sont considérés avec l’enfumade des Ouled Riah en perspective. Ils constituent le fond de la pantomime de nos « gouvernants » dansant sur le rythme tragique des bœufs, des moutons et des ânes piétinant hommes, femmes et enfants dans leur bousculade effrénée vers la minuscule, la dérisoire poche d’air qui subsiste sur l’immense roche qui obstrue l’entrée de la grotte. C’est la danse des canards sur la musique du « Crépuscule des Dieux » de Richard Wagner…

Mais comment ces « canards » se maintiennent-ils au pouvoir depuis si longtemps ? Pourquoi le peuple ne leur signifie-t-il pas leur congé ?

La mémoire ! Bien sûr, les Algériens ont une vague connaissance des drames dont la période coloniale a été prodigue, notamment durant ses sept dernières années. Malheureusement, la désillusion a été quasi immédiate. La libération du pays s’est d’abord traduite par la guerre des wilayas et la prise du pouvoir par une coterie constituée des gens qui avaient le moins de légitimité pour y prétendre. Ces gens ont imposé le silence et l’obéissance aveugle au peuple qu’ils étaient censés avoir affranchi…

Ceux des dirigeants du FLN révolutionnaire qui étaient porteurs d’idéaux démocratiques et pluralistes ont dû s’exiler. Certains ont été tués. L’Algérie accédait ainsi à l’indépendance sous le sceau de la dictature et du primat de l’incompétence. Notre pays a glissé ainsi vers sa réalité actuelle, celle d’une proie mise à l’encan, promise après dépouillement total à l’enfer de l’éclatement dans une partition sanglante.

Vision pessimiste ? Réaliste en tout cas. Mais le pire n’est jamais sûr. Il l’est d’autant moins que le peuple est capable de prendre son destin en mains et travaille à déjouer MAINTENANT le scénario fatal. Cela suppose une prise de conscience de la réalité et de l’ampleur du danger. Cela suppose de secouer des décennies d’apathie et de renoncement. Ces conditions seront réunies en convoquant la mémoire des tragédies passées, en rappelant l’interminable cortège de nos morts qui nous dit l’immense tragédie qui a présidé à la libération de notre pays. C’est à l’aune de cette histoire tragique que nous devons nous mesurer, nous compter, nous imposer l’ardente obligation de parachever notre guerre de libération en nous libérant de nos chaînes intérieures. Notre point d’appui, notre patrie, se tiennent dans une mémoire oubliée, occultée, dont l’urgence commande d’en retrouver le fil. C’est à ce prix que nous redonnerons son sens au combat séculaire de nos aïeux…

   

PUBLICATION DU Pr KHELIL .2

Curieux endroit qu'a choisi le Pr KHELIL pour situer le déroulement de son histoire. Ce choix en réalité n'est pas fortuit: ce phénomène de la file d'attente révèle l'un des malaises chroniques que ressent le citoyen algérien. Pour les deux acteurs de ce roman ce lieu constitue l'observatoire idéal pour scruter, observer et sentir physiquement le resenti de ce malaise social. Le dialogue des deux amis, l'un agronome l'autre journaliste, passe en revue tous les problèmes qui empoisonnent la vie quotidienne de l'algérien. Dans l'épilogue l'auteur propose des solutions basées sur des études scientifiques qui doivent accompagner une réforme en profondeur de notre système socioéconomique et donc politique. Comme d'habitude chaque publication du Pr KHELIL constitue une nouvelle contribution positive  au débat national.A.B

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POINT DE VUE

L’OLIVIER : CE SYMBOLE DE RÉSISTANCE ET DE  L’IDENTITÉ PALESTINIENNE VANDALISÉ PAR                      LES COLONS SIONISTES HAINEUX ET CRIMINELS

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Abdelkader KHELIL*

Depuis l’Antiquité, l’Histoire nous a appris que l'olivier occupe une place de choix dans les civilisations méditerranéennes et l'esprit des hommes et des femmes qui les composent. Il symbolise tout au moins pour les trois religions monothéistes : la paix, la sagesse et l'harmonie. En fait, il a toujours été considéré comme l’arbre vital des peuples méditerranéens vivant dans son aire géographique de prédilection, mais aussi, pour de nombreuses communautés dans le monde qui ne cessent d’apprécier fortement son huile et ses vertus médicamenteuses.

   C’est dire, que l’acte de conserver, de défendre et d’élargir la culture de l'auguste olivier est un impératif croissant à l'heure où le monde cherche désespérément les moyens et les ressources végétales lui permettant de s'adapter au changement climatique, alors que l’empire du mal avec ses armes de destruction massive, sa stratégie et politiques de non développement global s’entête à dégrader notre planète pour imposer son esprit mercantile, dominateur et destructeur au service d’intérêts égoïstes de sa minorité hégémonique.


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