29 Octobre 2011

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29 Octobre 2011

 Dans le cadre de son programme culturel annuel, notre association a organisé ce jour, la première conférence de l’année 2011-2012. Il nous est apparu naturel de consacrer cette conférence au premier proviseur du lycée Djamel Eddine de l’Algérie indépendante. Sur proposition du Pr Djaker, nous l’avons intitulé : « Professeur Ahmed TAHAR – l’Intellectuel et le Militant ». Une assistance nombreuse a répondu à notre invitation en particuliers d’anciens élèves. Cette rencontre est rehaussée par la présence de la famille du Pr TAHAR qui nous a fait le plaisir de répondre à notre invitation.

Après les allocutions de bienvenue de Mr le Proviseur du lycée et du vice-président de l’association, la parole est donnée au Pr Djaker. Ce dernier ,dans son exposé, a mis l’accent sur la vie militante du Pr TAHAR qui fut exemplaire et entièrement consacrée à la défense des droits des algériens sous la colonisation. Une autre facette de la personnalité du Pr Tahar fut mise en lumière par l’évocation de son activité culturelle : une vie consacrée à l’enseignement de la langue arabe, que tous ses élèves attestent de la très grande qualité. Nous avons aussi découvert un autre visage du Professeur : celui du poète. A l’issue de cet exposé, la parole est donnée à son fils Djamel et à son neveu Mohammed qui ont insisté sur la droiture et l’honnêteté du père et de l’oncle. Deux de ses anciens élèves (Mr Khelladi et Mr Touaguine) ont à leur tour insisté sur sa compétence, son nationalisme, son courage et son honnêteté intellectuelle.

Une collation ,un couscous traditionnel, a été offerte aux invités, dans une atmosphère empreinte d’amitié et de camaraderie.

(Voir l’article dans la rubrique « publications » du menu principal)

   

PUBLICATION DU Pr KHELIL .2

Curieux endroit qu'a choisi le Pr KHELIL pour situer le déroulement de son histoire. Ce choix en réalité n'est pas fortuit: ce phénomène de la file d'attente révèle l'un des malaises chroniques que ressent le citoyen algérien. Pour les deux acteurs de ce roman ce lieu constitue l'observatoire idéal pour scruter, observer et sentir physiquement le resenti de ce malaise social. Le dialogue des deux amis, l'un agronome l'autre journaliste, passe en revue tous les problèmes qui empoisonnent la vie quotidienne de l'algérien. Dans l'épilogue l'auteur propose des solutions basées sur des études scientifiques qui doivent accompagner une réforme en profondeur de notre système socioéconomique et donc politique. Comme d'habitude chaque publication du Pr KHELIL constitue une nouvelle contribution positive  au débat national.A.B

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