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HOMMAGE A Mohammed OULD KABLIA  

Le jeudi 29 aout 2013 nous quittait Mohammed OULD KABLIA, Moudjahed, grand serviteur de l’état et ancien élève de notre lycée. Pour honorer sa mémoire, nous vous présentons sa biographie

Biographie de Mohamed OULD KABLIA

Mohamed Ould Kablia est né le 6 mai 1932 à Tanger où son père exerçait depuis deux années, la fonction d’officier de la garde du sultan Mohamed V. Il fait avec son frère Dahou et sa sœur Zoubida des études primaires dans cette ville avant le retour à Mascara de toute la famille en 1940 au lendemain de la déclaration de guerre entre l’Allemagne et la France.

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La culture en réponse à la déprime- A.Khelil

 

 

« TOUTES LES FLEURS DE L’AVENIR SONT DANS LES SEMENCES D’AUJOURD’HUI » !

L’acoustique a fait vibré les murs de la grande salle de conférence et a porté haut et fort les complaintes de la nostalgie de « Bilad El-Andalus » et de la belle poésie mélodieuse interprétées par les associations : Cheikh Mustapha Belkhodja, En-Nahda d’Oran, Awtar Tilimcen, Gharnata, Kortobya, Ryad El-Andalous, Mohammed Bouali, S.L.A.M. de Tlemcen, El Andaloussia, Redouane Bensari de Sidi bel Abbès, Ibnou Bahdja de Mostaganem, El Mouahidia de Nedroma, Mohammed Rais de Béjaia et l’association culturelle de Constantine … Ce festival sur « la hadra andalouse » a été clôturé par le « classico » tant attendu entre : « Nassim El Andalous » d’Oran, et « Ahbab Cheikh Larbi Bensari » de Tlemcen. Le « match » amical de la « nouba »s’annonçait serrer, mais le spectacle comme d’habitude garanti, pour le grand plaisir des convives …

Les jeunes supporteurs du « Barça » et du « Réal » se sont projetés l’instant d’une soirée de clôture qui a tenu toutes ses promesses, dans la même ambiance festive par des applaudissements nourris comme ils le font d’habitude en camps adverses,  pour l’équipe de Messi ou celle de Ronaldo. Oui bien sûr, en fans de deux équipes bien distinctes, mais toujours, dans la civilité citadine et sans casse de mobilier urbain, qu’ils soient gagnants ou perdants … C’est là, chose merveilleuse, dont les enseignements se doivent d’être tirés par nos gouvernants pour mieux cadrer leurs actions, et mieux orienter leurs soutiens. L’heure étant cette fois-ci et plus que jamais à l’efficience et à l’efficacité dans la promotion de la chose publique en cette année difficile de 2017, ils gagneraient à être attentifs à cette question qui a trait à l’émancipation de notre société qui ne doit plus être tirée par le bas … En effet, plus que de subventions sans retour de civilité, notre société a besoin d’être éduquée, afin qu’elle puisse porter dignement et au plus haut de leurs expressions nos valeurs. Oui ! C’est en période de crise que la culture pourrait jouer le rôle de ciment et de rempart à la déprime de nos concitoyennes et concitoyens.

Pour ce qui concerne tout particulièrement Tlemcen, il faut souligner que cette pépinière féconde de jeunes talents mélomanes est le fruit d’un long et laborieux travail, patient et soutenu de ces grands musiciens pivots, ces chouyoukh qui ont su essaimer tels : Hadj Boukli Hacène Salah, Baghdadli Hadj Ahmed, Benkalfat Fawzi, Hadj Hamdi Mohamed, Ghoul Yahya, Smail Amine et bien d’autres, en veillant inlassablement sur leurs protégés filles et garçons de tout âge, cette relève qui rassure quant à un avenir musical espérons-le radieux. Nous devons respect, considération et gratitude à ces dignes héritiers des grands maîtres qui nous ont quitté, et du plus grand parmi eux ; le virtuose incontesté, Cheikh Larbi Bensari,natif à Ouled Sid el Hadj (1867-1964) dans les environs de Tlemcen. C’est à sa mémoire que la pléiade de musiciens de ce festival  a décerné un vibrant et chaleureux hommage, laissant pourtant trainer un « bémol regret » chez toutes celles et tous ceux qui auraient souhaité que cette manifestation culturelle soit à la hauteur du grand maître, c’est-à-dire, d’un niveau international. Ce n’est là, espérons-le que partie remise !

Mais qui a dit, que la musique andalouse, est ringarde ? Qui a dit qu’elle n’attire que les vieux ? Ont-ils vu ce « poulailler » plein comme un œuf, sans incident signalé ? Dans cet aréopage fait de mixité du genre, la courtoisie et la civilité étaient au rendez-vous et la jovialité  de mise. L’écoute dans le silence et le respect de l’art a pris le dessus sur le parler fort de la salive inutilement épanchée, accompagnée habituellement par la bousculade dans les stades, les injures et les grossièretés ! Rien de cela durant toute cette semaine festive ! N’est-ce pas là, le miracle de la mixité du genre ? Que d’enseignements à tirer, pour qui sait lire et interpréter les faits de société, cet esprit pertinent d’observation et d’analyse qui nous fait défaut ! Oui ! Faut-il le souligner, une société équilibrée ne peut avancer que sur ses deux pieds, elle est : parité entre hommes et femmes, garçons et filles, ou elle n’est rien, ou tout au moins, on dira  d’elle qu’elle est estropiée !

Cela veut dire aussi, que rien n’est perdu pour peu qu’on veuille donner pour de vrai et pour toujours, sa chance à une société civile qui a prouvé qu’elle est capable de se prendre en charge, de s’organiser et de se surpasser chaque fois qu’elle se sent concernée et que l’enjeu en vaut vraiment la chandelle. Il faut pour cela, qu’elle soit mise en confiance et que son élan ne soit pas cassé par des ondes négatives érigées en censeurs déclarés comme sous l’ère de l’inquisition de l’église du moyen âge, ou à défaut, en pleureuses de larmes de crocodiles « du rien n’est possible » tourné en boucle, dans cette Algérie qui pourtant, leur a tout donné ! Quelle ingratitude ? Dans tout ce qui nous arrive, c’est le travail de l’endurance qui manque le plus et c’est cela qu’il faille comprendre définitivement, si nous voulons avancer. Et puis ! Cerise sur le gâteau, ce festival a été adossé à des conférences fortement instructives et particulièrement celle de l’ethnomusicologue, la professeure émérite, Rachida ROSTANE qui a intitulé sa conférence : « Augustin et la pensée musicale antique du Maghreb central », ouvrant ainsi un vaste chantier de recherches que l’université de Tlemcen se doit de prendre en charge, en prévision des manifestations à venir. Elle aura le moment venu de quoi débattre avec des érudits qui viendront d’ailleurs. L’enjeu est d’être à la hauteur de ces ambitions qui doivent transcender le volet musical, afin de représenter dignement Tlemcen le moment venu. C’est dire, que rien n’est définitivement gagné dans pareille entreprise ! Alors … oui, il faut se préparer dès à présent !

CE QUE NOUS ENSEIGNE L’HISTOIRE !

Pour le grand bonheur des esprits nostalgiques et des puristes sachant décrypter les palpitations et pulsations de la foule, cela devrait rappeler toute proportion gardée et avec la parenthèse de la sinistre décennie noire qui a ternie l’image de notre pays, les années de gloire de la culture algérienne qui fût à son apogée durant les années 70 avec son cortège de festivals, de pièces théâtrales, de films débattus à la cinémathèque en présence de leurs réalisateurs, et de bien d’autres belles choses magnifiques  ... en quelque sorte, un authentique et réel bouillon de culture qui a forgé l’image d’un pays avant-gardiste en ce temps là. Quelle belle initiative que cette semaine de musique andalouse envoutante  par sa poésie et sa mélodie enivrante !  Oui ! La « société »  bigarrée de cette salle a « voté » ! Elle a livré  son verdict par applaudissements nourris, accompagnés de « youyous » stridents de femmes et jeunes filles joyeuses et belles, dans leurs tenues traditionnelles. Ils étaient tous là que pour la musique, et rien d’autre ! À chacune et à chacun de faire sa propre lecture ! Et ce n’est-là, que du bonheur en cette fin d’année qui s’achève au son de la nouba !

Ces soirs là, les convives femmes, hommes et enfants en vacances scolaires étaient bercés par la mélodie de la « nouba » des grands maîtres,  oubliant les tracas et la misère d’un quotidien « multi-maux » fait de routine et de marasme, pour se tremper dans leurs racines profondes. Exactement comme le fait l’arbre qui de la sorte, puise sa force de la sève qu’il élabore à partir de son terreau nourricier, croît, se développe et étale au ciel son feuillage pour donner des fruits et de l’ombre rafraîchissante et réparatrice à ceux fatigués qui font une halte, pour un instant de repos sous son houppier. Aux esprits incultes qui dénigrent cet Art musical vrai, issu de la connaissance scientifique, il faut répondre : que c’est l’Islam de la raison et des lumières de « Bilad El-Andalus » qui lui a permis de rayonnersur l’ensemble du monde arabo-musulman. À Grenade, jusqu’à la fin du XVe siècle, les minorités juive et chrétienne ont vécu à l’ombre d’un Islam majoritaire et dominant, mais néanmoins protecteur. Cette convivance qui a permis aux musulmans, aux juifs et aux chrétiens de vivre ensemble et a attiré à Grenade de nombreux réfugiés, cessa brutalement en 1492 avec le décret d’expulsion des juifs prononcé par les Rois catholiques, qui sera suivi, dix ans plus tard, par le décret d’expulsion des musulmans.

Déposé sur les rivages méridionaux de la Méditerranée après la chute de Grenade en 1492, ce dernier bastion arabe sur la péninsule ibérique, la musique andalouse va trouver refuge dans les grandes cités du Maghreb : Tétouan, Fès, Tlemcen, Alger, Béjaïa, Constantine, Tunis …, autant d’écrins qui vont couver jalousement cet art d’une civilisation prestigieuse. Comment ne pas être fier lorsqu’on sait que cette musique et le fruit d’un métissage entre la musique arabe venue de l’Orient, la musique afro-berbère du Maghreb et la musique pratiquée dans la péninsule ibérique avant 711, date à laquelle Târiq Ibn Ziyâd traversa le détroit pour conquérir l’Andalousie. Oui ! Nous avons à notre manière marqué de notre sceau nous aussi, l’histoire de « Bilad El-Andalus » en y apportant notre contribution ! C’est cela qui donne tout son sens à ce festival bien que limité qu’à l’école de Tlemcen - parce que préparé à la va-vite -, qui nous rappelle cependant que nous fûmes grands de par le passé et cela n’est pas négligeable de nos jours ! Le brassage entre plusieurs civilisations donna lieu à une éclosion sans précédent de cet art musical qui a connu un développement fulgurant pendant plus de huit siècles, aussi bien en Andalousie qu’au Maghreb. Voici, ce qu’il importait de dire sur le volet histoire pour ancrer la musique andalouse dans sa généalogie et mettre en valeur son pédigrée ! Ajoutant aussi, qu’à la suite de la parution du décret d’expulsion des Morisques, en 1609 et leur exode massif au Maghreb, cet art musical perdure grâce à l’intérêt que lui portent les autochtones, donnant naissance notamment au flamenco. Il laisse par ailleurs des empreintes indélébiles dans différents folklores et dans l’imaginaire populaire espagnol. Le Maghreb quant à lui, devient l’unique défenseur et continuateur de cette tradition musicale jusqu’à présent, et Tlemcen n’est certainement pas en reste.

DES MUTATIONS ET DE L’ÉROSION DES VALEURS !

Le choc culturel, ce sentiment de profonde désorientation qu'éprouvent les personnes et les groupes mis soudainement en contact avec un milieu culturel dont les traits se révèlent inconnus, incompréhensibles, menaçants, a provoqué dans nos sociétés modernes des grandes mutations laissant place à l'érosion des valeurs morales, bien souvent à la perte d'identité culturelle et au déséquilibre interne. Au rythme du brassage culturel, on est porté à croire qu'à la longue, la culture de notre peuple à l’instar de ceux d’Afrique notamment, risquerait de disparaître du fait de sa marginalisation et de son abandon au profit d'une culture pseudo occidentale.

En effet, le choc cultuel a apporté un déplacement de sens et nous ne sommes plus tout-à-fait nous-mêmes, parce que victimes d'une aliénation culturelle causée par un regard tourné vers l'extérieur qui a fini par endormir les consciences, mais pas que chez-nous si çà peut rassurer certains.  Nous sommes même arrivés à cultiver une sorte de honte secrète de nous-mêmes quand il s’agit de fêter par exemple : « Achoura » ou toutes autres fêtes à l’exception de celles des deux aïds. Nombreux sont ceux parmi nous qui ne savent plus rien de leur culture et de leur langue maternelle et cela m’attriste. La société algérienne d'aujourd'hui nous fabrique des déracinés, des aliénés et acculturés plus proches de leur nouveau père spirituel « Google » que de leurs origines si profondément ancrées dans des valeurs humanistes. Quel malheur, pour une société en dérive comme la nôtre!

Il faut dire que l'entrée de notre pays dans le nouveau village planétaire a fait de nous, un simple marché potentiel de  consommateurs portant sur son dos une culture amoindrie, par la faute de toutes celles et de tous ceux qui n’ont pas su, ou pas voulu la préserver pour l’avoir négligée ! Alors oui ! Nous sommes réellement en danger ! Devant cette crise d'identité culturelle qui jonche nos rapports sociaux, une question s’impose d’elle-même. Que deviendra la culture Algérienne face à l’influence imposante de celle occidentale ? Faudrait-il rester bouche close devant cette désorientation totale qu'a engendré le choc culturel dans nos familles ? N'est-il pas temps de réviser notre politique culturelle comme l'ont fait les nouveaux pays industrialisés d'Asie et d'orienter autrement la question de notre développement qui ne saurait se passer de sa culture ? N'est-il pas temps pour nous de repenser notre culture pour son insertion dans la modernité, de faire une analyse objective de notre passé et une critique rigoureuse de notre présent pour déterminer la voie de l'avenir ? De faire un retour à la source culturelle pour y puiser les valeurs humaines ultimes et passer au modernisme sans complexe ni  aliénation ? Voici tant de questions qui restent posées et que la communauté scientifique se doit d’investir.

Comme hier, l’Algérie « pays-continent », fer de lance des valeurs tiermondistes se doit de prendre l’initiative dans l’organisation d’un grand festival international sur les musiques traditionnelles, avec comme idée sous-jacente une réflexion profonde et commune avec des pays arabo-musulmans qui partagent avec nous, les mêmes valeurs mais aussi, les mêmes préoccupations afin de dégager un dénominateur commun pour servir d’ancrage à nos actions futures, en tant que communauté arabo-musulmane soucieuse de la pérennité de sa culture revisitée et adaptée sans complexe à son siècle. Alors, oui ! Il faut le dire en toute lucidité ! La balle est dans le camp de l’université qui doit servir de « locomotive » pour la société qu’elle doit tirer vers l’horizon du plus et du meilleur. Saura-t-elle le faire ? Le défi est lancé et les paris sont ouverts ! Quant à nos musiciens, telles des fourmis ouvrières, ils ont toujours su faire leur travail du mieux qu’ils pouvaient, en fonction des moyens mobilisés par leurs associations ! Que faut-il leur demander de plus ? C’est aux  chercheurs du patrimoine qu’il faut aussi donner les moyens nécessaires, afin qu’ils puissent se défausser plus qu’ils ne le font actuellement, si l’on ne veut pas que l’on dise un jour : « il était une fois, la culture algérienne » ! Une authentique « Nahda » culturelle est à prévoir au plus vite ! C’est là, une priorité majeure dans le monde cruel d’aujourd’hui.

Oui ! Il y a cette obligation pressante pour les élites de prendre une part importante à l’éveil des consciences pour une révolution culturelle algérienne humanisante. Alors ! Plus qu’une « hadra » d’inspiration locale, nous avons besoin aujourd’hui, dans notre quête d’un ressourcement élargie à ceux qui comme nous partagent les mêmes inquiétudes, d’aller des 2017 vers l’organisation à Tlemcen, d’un Festival International de la musique andalouse qui a besoin d’être reconnu par décret exécutif, comme institution pérenne. C’est là, un vœu cher à la population tlemcénienne et notamment à ses femmes et ses hommes de culture,  auquel j’associe mon vœu  de voir notre « pays-continent » reconquérir toutes ses lettres de noblesse et de vivre dans la paix et la prospérité qu’il mérite, pour avoir trop souffert. Alors, disons merci à toutes celles et tous ceux qui par leur engagement au niveau de cette manifestation culturelle nous ont plongé l’instant d’une semaine festive, dans un ressourcement salutaire et qui ont aiguisé chez-nous, cet appétit du toujours plus et du toujours mieux, attendu pour 2017 …

* Professeur

                                                                                                               

   

PUBLICATION DU Pr KHELIL .2

Curieux endroit qu'a choisi le Pr KHELIL pour situer le déroulement de son histoire. Ce choix en réalité n'est pas fortuit: ce phénomène de la file d'attente révèle l'un des malaises chroniques que ressent le citoyen algérien. Pour les deux acteurs de ce roman ce lieu constitue l'observatoire idéal pour scruter, observer et sentir physiquement le resenti de ce malaise social. Le dialogue des deux amis, l'un agronome l'autre journaliste, passe en revue tous les problèmes qui empoisonnent la vie quotidienne de l'algérien. Dans l'épilogue l'auteur propose des solutions basées sur des études scientifiques qui doivent accompagner une réforme en profondeur de notre système socioéconomique et donc politique. Comme d'habitude chaque publication du Pr KHELIL constitue une nouvelle contribution positive  au débat national.A.B

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POINT DE VUE

L’OLIVIER : CE SYMBOLE DE RÉSISTANCE ET DE  L’IDENTITÉ PALESTINIENNE VANDALISÉ PAR                      LES COLONS SIONISTES HAINEUX ET CRIMINELS

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Abdelkader KHELIL*

Depuis l’Antiquité, l’Histoire nous a appris que l'olivier occupe une place de choix dans les civilisations méditerranéennes et l'esprit des hommes et des femmes qui les composent. Il symbolise tout au moins pour les trois religions monothéistes : la paix, la sagesse et l'harmonie. En fait, il a toujours été considéré comme l’arbre vital des peuples méditerranéens vivant dans son aire géographique de prédilection, mais aussi, pour de nombreuses communautés dans le monde qui ne cessent d’apprécier fortement son huile et ses vertus médicamenteuses.

   C’est dire, que l’acte de conserver, de défendre et d’élargir la culture de l'auguste olivier est un impératif croissant à l'heure où le monde cherche désespérément les moyens et les ressources végétales lui permettant de s'adapter au changement climatique, alors que l’empire du mal avec ses armes de destruction massive, sa stratégie et politiques de non développement global s’entête à dégrader notre planète pour imposer son esprit mercantile, dominateur et destructeur au service d’intérêts égoïstes de sa minorité hégémonique.


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